L'essence de mon travail
http://youtu.be/DpGc_XzHXw4
La prise en charge bénévole et l'aide apportée n'est pas accompagnée d'acte médical par ce mouvement citoyen.
Le conseil est de passer une visite médicale, accompagnée d'une entrevue chez un spécialiste de la maladie mentale si la situation mentale et morale l'impose ou par simple précaution. Le retour au calme et l’accompagnement de la personne dans un environnement calme est impératif pour que la personne puisse prendre pour elle les meilleures décisions concernant les démarches, médicales, sociales et l’aboutissement d’un état d’esprit de reconstruction.
Reprendre des reperères est une démarche personnelle, au rythme propre à chacun.
Dans ces moments, bénéficier d’une aide comme celle que je propose, évite bien des souffrances dues au sentiment d’abandon, l’isolement et au sentiment d’impuissance qui causent, trop souvent, suicides ou dérive complète de la personne.
Ne confondez pas acte médicale, et aide morale et soutiens psychologique. Je suis clairement inscrit dans une démarche qui n’est pas populaire et qui me cause pas mal de critiques et ennuis. Il est de mon devoir de m’imposer une éthique et une morale sévères vis-à-vis des confidences, et appels à l’aide. J’ai un intérêt particulier pour les victimes de bipolarité et les schizophrènes. Mon expérience et mon vécu pour ces maladies mentales sont particulièrement sensibles. Il est faux de croire que la prise en charge de ces pathologies est satisfaisante. Certains psychiatres ont une attitude bien trop médicale et une approche humaine inexistante. En même temps je salue le travaille de la majorité du personnel soignant qui avec les outils mis à leurs disposition font un travaille remarquable.
Il faut rendre au plus vite un visage humain aux actes médicaux dans le cas de crises d’une personne en détresse, victime d’une maladie mentale. J’ai trop souvent constaté des souffrances inutiles face à l’absence d’attitude au visage humain. N’oublions pas que la victime de pareils troubles, développe des troubles comme la paranoïa et d’autres troubles qui ont comme effet un replis sur sois même rendant ingérable une vrai thérapie.
A la demande d'‘Alexandre‘, je prépare un article sur la douloureuse distorsion de la maladie et la justice punitive. La protection des malades n’est pas satisfaisante, l’écoute inexistante et la compréhension de la justice pour ces victimes nulle!
Ce blog est un moyen d’expression, pas un outil de propagande, il faut y déposer des idées pour faire avancer les choses et permettre le dialogue avec les acteurs et institutions inadaptées au besoins de notre temps. Toute publications visant à troubler le caractère pacifiste par le seul moyen de liberté d’expression sera détruit.
Il ne s'agit pas d’une croisade revendicative, mais d’un outil au milieu de solutions. Avançons vers la compréhension pour aider la mise en place d’un changement profitable à tous.
Conseil : Visionner l’exposer à l’aide du lien si dessous, et instruisez-vous sur les difficultés d’un malade mental, à vivre en société. N’oubliez jamais que être malade et victime d’une pathologie comme la bipolarité ou la schizophrénie, demande un combat de tout les instants et impose une rigueur permanente. Combien d’entre vous ont pris une heure pour comprendre ce combat désespéré ?
http://youtu.be/DpGc_XzHXw4
Je profite de l’occasion, pour émettre mon avis sur la stabilisation de l’état à l’aide de la chimie. Des études récentes mettent en avant les dégâts de certains psychotropes tels que l’appel au suicide et les effets secondaires qu’ils infligent.
Appelons un chat un chat voulez vous! Quand vous êtes bipolaire et sous traitement dans le but avoué de ‘ Stabilisation ‘, le traitement est très lourd et provoque des effets non désirables importants. Les plus connus sont le trouble de l’appétit, le dérèglement de l’appétit sexuel ou encore dans trop de cas le traitement est tel que vous vivez dans un esprit qui ne vous correspond plus.
Cette sensation est terriblement dégradante et provoque des envies d’en finir d’où le nombre élevé de suicides chez les bipolaires et schizophrènes. Un sur Quatre d’après les dernières études.
Je reste à votre entière disposition pour tout renseignements, Bernard.